GIL' ♦ Just around the riverbend

BURNING_SWORD
GILLIAN MATOAKA CARTER

PRAY FOR RAIN.

PRENOM, NOM : Gillian, Matoaka. Carter.
SURNOM(S) : Gil', Gilly.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE, AGE : 09.06 à Darwin. 26 ans.

Les parents de Gillian, Miranda et Tonny, se sont toujours bien entendus avec les indiens. Les relations entre ces derniers et la famille Carter était plus qu’amicale. C’est d’ailleurs grâce à cette entente que la jeune femme porte comme deuxième prénom celui d’une indienne. Elle se souvient que lorsqu’elle était petite, elle jouait sous l’arbre, juste en face de la maison. De temps à autre, Muata venait leur rendre visite. Muata était un ami de la famille, un indien. La plupart des connaissances du père de Gil’ avait du mal à supporter cette idée. Pour eux, les indiens ne valaient pas mieux que les bandits. Très tôt, la petite Gillian prit la défense des indiens. L’amour et la passion qu’elle éprouvait envers ce peuple ne cessait de grandir. Elle aimait leurs chants, leurs coutumes et leurs prénoms, leur façon de voir le monde et de respecter toute créature vivante, humaine ou non. Plus elle grandissait, plus elle avait du mal à comprendre la haine de blanc envers les Amérindiens. « Papa, pourquoi l’Oncle Harry n’aime pas Muata ? Il est gentil pourtant. » « Ton oncle Harry est stupide. Tout comme la plupart des habitants tu sais. » « Parce qu’ils ont la peau rouge ? C’est pour ça qu’on les appelle les peaux rouges dis ? » « Oui, c’est pour ça. » « Alors pourquoi on ne s’appelle pas les peaux blanches ? » « Tu comprendras plus tard ma puce. Mais la plupart des hommes sont mauvais. Tant que toi, ma petite Gilly, tu comprends, tout va bien. » Elle était différente et cela ne la dérangeait pas. Muata était une personne de sa famille, qu’il soit blanc ou non. Vers l’adolescence, Gillian se rendit compte qu’elle n’aimait pas la mentalité des gens qu’elle appel les ‘Poulpes’. Son langage et son comportement lui ont plusieurs fois attirés des ennuis. À l’école, les amérindiens et les blancs n’étaient pas mélangés. La jeune fille préférait aller jouer avec eux plutôt que de supporter les idioties de ces ‘camarades’. Cela valut à ses parents de nombreuses convocations. Gillian n’était pas du genre à se taire, et son père, même s’il ne lui montrait pas, était fière d’avoir une fille comme elle, pleine d’espoir et de compassion.

Puis un évènement donna à l’occasion à l’Oncle Harry de monter la majorité de la famille contre les amérindiens. Tonny Carter se fit tirer dessus par un homme. Personne ne vit son visage, ni même ses mains. Et pourtant, Harry était convaincu qu’il s’agissait d’un peau ‘rouge’. Alors, il traqua Muata et ce dernier se fit arrêter. Miranda Carter ne crut pas à cette thèse et soutenu son ami, tout en affrontant la perte de son mari. Plus tard, il fut prouvé qu’il s’agissait d’un jeune homme, Brendan O’Neil, qui avait tiré par erreur sur le père de Gillian. Une erreur qui priva la jeune femme de son père à ses 15 ans. À partir de ce moment, elle ne voulut plus entendre parler de Harry et eut une violente altercation avec lui. Bien que détruite par la perte de son père, elle avait encore la force de foutre un coup de genou à celui qui avait aggravé son deuil. Comment pouvait-il croire que Muata avait fait cela ? Il le connaissait depuis plus de vingt ans et même s’ils ne s’aimaient pas, c’était absurde. Harry quitta la ville et la jeune femme n’eut plus jamais de ses nouvelles. Elle arrêta l’école dès qu’elle eut son diplôme, vers ses 18 ans. Toujours aussi proche des indiens, rien n’avait changé. Son affection pour ce peuple grandissait de jour en jour. Son père était d'ailleurs enterré près de la réserve et la famille de Muata avait tenu à lui rendre hommage. Gillian va se recueillir sur sa tombe presque toutes les semaines. Sa mère, Miranda, a fini par quitter la ville. Elle s'est installée à Denver et s'est remarié. Bien qu'il ne s'agisse pas de son père, elle apprécie l'homme qui partage la vie de sa mère. Étonnement, elle lui accorde plus de crédits qu'à tous les anciens prétendants de sa mère. Lui seul a réussi à lui rendre le sourire il faut dire. La jeune femme a donc hérité de la maison familiale et elle refuse de la quitter. Elle sent que l'atmosphère devient de plus en plus tendue et que les blancs ont tendances à pousser à bout les indiens, chose qu'elle ne supporte pas. Mais elle sait aussi que certains indiens ne tolèrent pas la présence des blancs... Elle, elle reste dans son coin, tenant son petit magasin, restant avec ses amis. Elle rend toujours visite à Muata et à son clan, mais elle sait qu'avec tout ce qui se passe, quelque chose pourrait lui arriver. Cependant cela ne l'empêche pas de se mouiller pour les 'protéger'.

Alors voilà, je ne porte pas de chaussettes… du moins pas aujourd’hui. Mes chaussons sont bleus et blancs, avec une vache dessus =D oui une vache, qui parle…. =O C’était ça ou des trucs tiré d’un vieux film des années 20. Je m’appelle Lanie, plus connue sur internet sous Burning Sword (anciennement Soft Hemingway). Ma passion dans la vie, c’est l’élevage d’escargots aquatiques et myopes. J’aime aussi les champignons et les raisins pas murs, l’eau qui stagne et les mouches Alzheimer. Plus sérieusement, je suis venue pour le contexte, qui est original. Mais surtout parce que putain que j’aime le design et le thème. Bravo aux admins, en même temps, ça m’étonne pas (a)

AVATAR : La magnifique Erica Durance
MOT DE PASSE :

Spoiler:

GROUPE : Strangers in town
MULTI-COMPTE : pas encore (a)

Welcoumette
On va avoir tout Smallville avec nous (aa) (j'aime Erica )

Bienvenue