DREAMCATCHER. Occupation: Étudiante en Lettres & Stagiaire à mi-temps à la Bibliothèque Adresse: Lakotas Boulevard #12 Bloc-notes:
Sujet: nokomis ♥ do you know where your heart is ? » Dim 16 Mai - 16:52
(c) amy. NOKOMIS WASQUONE
PRAY FOR RAIN.
PRENOM, NOM : Nokomis est mon premier prénom, il signifie fille de la lune puisque je suis née un soir de pleine lune. Je possède également un second prénom – ce que peu de personne savent – qui est Yepa. Ce second prénom fut choisi par mon père et signifie princesse de l'hiver si vous connaissez mon père et ma date d'anniversaire vous comprendrez vite pourquoi. Quant à Wasquone j'ignore s'il a une signification particulière mais ça reste mon nom de famille et j'y tiens. SURNOM(S) : Mon prénom étant assez long la plupart des habitants de la tribu m'appelle Noko (la noix de coco), avouez que c'est bien plus court. Je possède également un second surnom qui est Komis mais celui-là est réservé aux personnes qui me sont très proches. DATE ET LIEU DE NAISSANCE, AGE : Je suis née le 25 décembre 1990 et j'ai par conséquent vingt ans. Quant à ma ville de naissance elle n'est autre que Rosebud, j'y suis née et j'y ai grandit... ans
TALKING OWL.
CHAPTER ONE SOMETHING NEW IN THIS TOWN
kiona Maman ? Tu es toute blanche ? Dis maman pourquoi tu es malade ?
Petit nous avions tous tendance à agacer nos parents à poser sans cesse des questions et ce qui énervait encore plus nos proches c'était lorsqu'à chaque réponse on lançait une nouvelle question à base de « pourquoi ? » et de « comment ? ». Mais ce jour-là Kiona ne comptait pas poser des tas et des tas de questions tout simplement parce que ce n'était pas son genre même si à quatre ans la petite était déjà très curieuse. Non ce jour-là Kiona s'inquiétait réellement, elle avait déjà vu sa maman malade mais jamais au point de devoir aller aux toilettes toutes les cinq minutes. Le mois de Mars était bien entamé et l'année mille neuf cent quatre-vingt semblait particulièrement calme même pour Kiona qui en septembre avait commencé l'école. Le regard de Kiona fut intense, ne cessant de fixer sa mère qui se tenait aussi droite que possible face à sa petite fille. Toute la scène avait eu lieu dans la salle de bain où une fois de plus Yepa s'était rendue alors qu'elle et sa petite fille préparaient un dessert dont toutes les femmes de la famille de Yepa avait le secret, secret qu'elle avait décidé de révélée à son actuelle fille unique. Passant le revers de sa main sur son front perlé de sueur, Yepa posa son regard noisette sur sa fille, un léger sourire rassurant venant se dessiner sur ses lèvres tandis qu'elle se mettait accroupit en posant ses mains sur les épaules de Kiona.
yepa N'est pas l'air si inquiète ma chérie, je n'ai rien de grave. Il se trouve que je suis simplement malade parce que dans quelques mois tu auras un petit frère ou une petite sœur.
Le regard curieux, Kiona n'insista pas plus bien trop heureuse de n'être bientôt plus la seule enfant dans sa famille. Même si elle avait mit quelques instants à comprendre les paroles de sa mère, lorsqu'enfin ils devinrent compréhensibles à son esprit, la petite alla tout contre sa mère, passant ses bras autour du cou de Yepa et serrant sa mère fort contre elle... Les neuf mois passèrent à une vitesse surprenante, tout du moins c'était l'impression qu'avait eu Kiona. La petite fille avait vu le ventre de sa mère s'arrondir un peu plus tous les mois et ne cessait de vouloir poser son oreille tout contre comme si elle allait entendre le petit être à l'intérieur lui parler. En réalité Kiona n'avait rien entendu, elle n'avait fait que sentir les coups de pied donner à l'intérieur du ventre de sa mère cherchant sans cesse à comprendre par quelle manière le bébé pouvait faire cela et surtout elle voulait savoir les raisons pour lesquelles il se battait à l'intérieur. Noël n'était pas une fête que l'on célébrait chez les Wasquone, pour la simple raison que ça n'entrait pas dans les traditions indiennes de la famille, mais puisque même la ville s'était américanisée, en ce beau soir du vingt-quatre décembre, la petite Kiona avait tout de même eu la surprise de recevoir un cadeau de la part de ses parents : une petite peluche représentant un lapin, une peluche de plus à rajouter à son immense collection dans sa chambre qui bientôt serait trop petite pour accueillir tout ces habitants qu'elle chérissait tant. Mais le plus beau cadeau de la petite arriva dans les alentours de minuit, alors que le vingt-quatre se transformait en vingt-cinq décembre. Kiona avait vu le visage de sa mère changer subitement et même son père avait comprit ce qui était en train de se produire. La demoiselle n'avait jamais vu ses parents s'agiter autant, son père était tellement paniqué qu'il semait presque tout sur le chemin de la voiture. Kiona, elle, avait été très calme, elle était même allée dans sa chambre prendre l'une de ses peluches favorites représentant un loup et était montée à l'arrière de la voiture bien sagement. Les heures étaient passées très lentement, Kiona avait attendu bien sagement avec son père dans la salle d'attente jusqu'au moment où un médecin vint les chercher et les amena à la chambre de sa mère. Cette dernière tenait dans ses bras un tout petit humain, une petite fille selon les dire du médecin. Le regard posé sur sa fille aînée, Yepa et Ohitekah acceptèrent l'un comme l'autre de laisser le soin à leur première née de trouver le prénom du nouveau né. Regardant alors un moment par la fenêtre, Kioma prit conscience que sa petite sœur était née une nuit de pleine lune.
kioma Je veux qu'elle s'appelle Nokomis : fille de la lune.
CHAPTER TWO EVERYBODY GROW UP
Nokomis avait beau retourner sa chambre elle ne parvenait pas à le retrouver. Partie comme ça elle a allait vite devenir folle et casser le prochain objet qui lui tomberait sous la main. Bien qu'habituellement assez calme, la demoiselle se trouvait également être très paradoxale car très impatiente. Pourtant elle était persuadée de l'avoir ranger sous le matelas de son lit, un endroit où personne n'irait fouiller, un endroit auquel personne n'aurait penser. Pourtant il n'y était pas et Nokomis devenait de plus en plus folle à chaque minutes qui passait, si jamais il était tombé entre les mains de ses parents elle allait en prendre pour son grade parce qu'elle couchait dans ce petit calepin tout ce qui lui arrivait pour ne jamais oublier, pour qu'un jour en relisant ces pages tout lui reviennent en mémoire. Mais si elle écrivait dedans c'était pour deux autres raisons, la première étant qu'elle devait extérioriser par n'importe quel moyen ce qu'elle avait en elle et le deuxième était tout autre. Son rêve était de devenir écrivain, écrire était sa plus grande passion, une passion qu'elle avait depuis qu'elle avait six ans, l'année où sa mère lui avait offert son premier journal. Si pour certain c'était un cadeau bien plus que banal pour Nokomis c'était un objet très précieux. Ses six ans... Nokomis s'en rappelait parfaitement c'était l'époque où elle ne cessait de poser des questions et surtout l'année où elle n'arrêtait pas d'embêter Kiona en lui « empruntant » toutes ses affaires comme elle aimait le dire. Un éclair de génie lui vint alors, et râlant toute seule, Nokomis quitta sa chambre d'un pas rapide et entra dans la chambre de sa petite sœur telle une furie. Par chance Chilam n'y était pas ce qui lui donnait la possibilité de fouiller sa chambre dans les moindres recoins. Sa petite sœur n'avait que six ans mais c'était une vraie peste, pire même ! Fouillant tout d'abord l'armoire de cette dernière Nokomis trouva étrange la présence d'un carton caché dans le fond de l'armoire sous une tonne de vêtements que sa petite sœur n'avait pas cru utile de ranger. Tirant le carton vers elle et après l'avoir ouvert la demoiselle reconnu immédiatement les quatre journaux qu'elle avait tenu depuis ses six ans, des journaux qui contenaient chacune de ses pensées, chacun de ses sentiments. Et bien évidemment le plus récent s'y trouvait également. Furieuse elle emporta le carton dans sa chambre ne prenant pas même le temps de ranger ce qu'elle avait défait et une fois dans sa chambre elle attrapa le premier journal et tourna les pages à la recherche d'un passage important.
« Cher Journal,
Je crois que je n'ai jamais autant détester le jour de mon anniversaire. Kiona dit que ce n'est que la jalousie et que ça me passera très vite mais moi je n'en suis pas si sûre. Le vingt-cinq décembre est censée être mon jour tout comme le trente-et-un mai est celui de Kiona ! Mais non il a fallut que ma petite sœur décide de pointer son nez le jour de mes quatorze ans. Déjà que je n'en voulais pas d'une petite sœur en plus elle me pique le jour de mon anniversaire. Je sais que ce que je ressens est mal, grand-père ne cesse de me le répéter, mais c'est plus fort que moi et comme le dit souvent maman je suis l'exception de la famille. C'est vrai qu'elle disait ça uniquement parce que je suis première de ma classe depuis le jour où j'ai mis le pied à l'école mais j'utilise cette excuse également pour expliquer la jalousie que j'éprouve envers ma petite sœur. Kiona est celle qui a choisit son prénom, elle a choisit Chilam, ce qui signifie oiseau de neige et moi j'ai préféré Ayasha parce qu'elle est petite et qu'elle le sera toujours. Bien sûr papa et maman ont préféré lui mettre comme second prénom, on en a tous un dans la famille, Kiona possède comme second prénom Sakari (douce) ce qui lui va plutôt bien et quant à moi il s'agit de Yepa (princesse de l'hiver) bien évidemment c'est mon père qui l'a choisit étant née en hiver et étant sa petite princesse. Mais malgré l'existence de ces seconds prénoms ont en parle jamais, ils sont juste indiqués sur notre carte d'identité rien de bien important en somme. Et pour continuer sur ma lancée, Chilam est déjà une vraie horreur à supporter, elle pleure toute les nuits, maman dit qu'elle est la pire de nous trois et ça je veux bien le croire en plus chaque matin papa et maman semble ne pas avoir dormi tout comme Kiona et moi, d'ailleurs papa pense de plus en plus à nous confier à grand-père le temps que les choses se calme avec Chilam. J'espère vraiment que ça va se faire parce que grand-père a toujours pleins d'histoires à nous raconter à Kiona et moi, des histoires sur nos ancêtres. Par exemple papa descend de la tribu Sioux – tout comme grand-père – alors que ma mère vient d'une tribu Cherokees située en Caroline du Nord. J'ignore comment grand-père peut en savoir autant sur maman, sans doute l'a-t-il apprit lorsque la famille de maman est venue s'installer à Rosebud lorsqu'elle n'était qu'un bébé. En tout cas cher journal, je suis bien heureux de t'avoir pour te confier toutes ces choses qui me pèse sur la conscience, maintenant il est temps que j'arrête d'écrire sinon je serais trop fatiguée demain à l'école.
Dimanche 25 décembre 1994 »
MY DREAM CATCHER.
La couleur de mes chaussettes oO ?? Bah le problème c'est qu'aujourd'hui j'en ai pas mais je peux vous dire que j'ai des chaussons Snoopy rose barbie (sans commentaire j'ai pas choisis xD) et qu'ils tiennent bien chaud aux pieds *sbaaaaf*. Brefation mon petit nom je le garderais pour moi je n'en suis pas très fan ><' mais je peux vous dire qu'on m'appelle bien souvent Amy (pas vrai Rainette ?? *sort*). J'ai dix-ans, ouep rien que ça est à vrai dire je suis bien plus proche des dix-neuf ans et j'habite quelque part en France, genre un endroit paumé près de la Bretagne dont seule Flaurinette connait le nom xD et aussi en Île-de-France. N'ensuite les administratrices... je peux pas les voir, si si je vous jure que c'est pas vrai, bah voyons je serais pas là sinon parce que Rainette & Mariko ([sitrke]le haricot[/strike]) elles sont trop fortes et elles gèrent sa fougère et sa grand-mère (aa). Brefation je pense en avoir assez dit et être passée pour une folle assez longtemps ! Allez tchousss les amis =DD
WILD IS THE WIND.
AVATAR : Nina Dobrev de mon cœur, ma déesse (aa) <33 CODE REGLEMENT : pow wow, je fais la danse avec si vous voulez *sbaaaf* GROUPE : Call of the Wild MULTI-COMPTE : Nop
Nokomis Wasquone NOKOMIS ▬ « bless my soul, i'm a lonely soul »
DREAMCATCHER. Occupation: Étudiante en Lettres & Stagiaire à mi-temps à la Bibliothèque Adresse: Lakotas Boulevard #12 Bloc-notes:
Sujet: Re: nokomis ♥ do you know where your heart is ? » Dim 16 Mai - 16:53
CHAPTER TWO SUITE
« Cher Journal,
Je pars complètement à la dérive et je ne sais plus quoi faire. Je me pensais bien plus forte que ça mais en réalité je suis d'une faiblesse surprenante. Tout le monde se trompe à mon sujet, depuis que je suis toute jeune on ne cesse de me dire que j'ai un fort caractère et que les choses de la vie ne parviendront jamais à m'atteindre et que je ne cesserais jamais de marcher la tête haute. Ils se trompent tous, ils ne me connaissent pas et je ne me connaissais pas non plus. Voilà trois jours que je n'ai pas écris, trois jours que je fais semblant d'aller bien, trois jours que je sors prétextant avoir besoin de faire un peu d'exercice alors qu'en réalité je vais m'asseoir sur la falaise pour me perdre dans mes pensées. C'est l'endroit que j'ai toujours aimé, l'endroit où je peux me perdre dans mes pensées sans craindre d'être dérangée, un endroit où j'aime aller lorsque les choses ne vont pas bien parce que chez moi la paix est pratiquement impossible à avoir surtout avec Chilam. Car à présent les choses vont mal et j'ignore si tout retournera à la normale un jour. Mes parents n'ont rien vu, n'ont rien « senti » comme aimait le dire ma grand-mère et je ne les blâme pas car après tout c'est moi qui continu de leur cacher ce secret que je tente d'enfouir le plus possible en moi, que j'espère faire disparaître un jour. Seul Kioma est parvenue à se rendre compte que quelque chose n'allait plus, elle m'a dit que mon sourire semblait faux, que je n'avais pas autant de joie de vivre que d'habitude. Ma sœur est sans aucun doute la personne qui me connait le mieux, avec Halian mais même mon meilleur ami ignore mon secret. Je n'ai pas pu cacher à Kioma ce qui m'était arrivée alors je lui ai tout raconté vraiment tout, de la situation à ce que je ressentais et aux coups que j'ai reçu. Son visage je ne l'ai pas vu mais sentir la violence avec laquelle il me frappait me suffisait amplement. J'ai eu de la chance de n'en recevoir qu'à des endroits où je pouvais le cacher, Kioma est la seule à avoir vu les hématomes que j'ai sur les hanches, au niveau des côtes et au ventre. J'ai bien cru qu'elle allait pleurer tant ça la touchait de savoir que sa petite sœur avait pu subir une chose pareille. C'est elle qui m'a conseillé de tout écrire dans tes pages, d'y coucher ce que je pouvais car écrire a toujours été un moyen pour moi se faire sortir ce que je gardais en moi afin d'éviter qu'un jour je n'explose. Le seul problème c'est qu'avant toi j'ai trouvé autres choses et j'en suis loin d'être fière. J'avais juré ne jamais toucher à la drogue, mais on dit souvent qu'il ne faut jamais dire « jamais » et j'ai compris le sens de cette phrase lorsque pour la première fois j'ai avalé ce médicament que mon père prenait pour calmer ses douleurs. Je sais qu'à présent je suis complètement dépendante et j'ai peur de ne jamais parvenir à m'en sortir...
Vendredi 24 avril 2009 »
♫ ♪ ♫
« Cher Journal,
Aujourd'hui je l'ai fais... J'ai dis « je vais bien merci ». Cette phrase n'était pas sortie de ma bouche pendant un peu plus d'un an. Je ne cessais d'esquiver cette question en changeant totalement de sujet, me moquant de savoir si la personne en face de moi allait être vexée ou non. Avant j'étais dans un tout autre monde, un monde où je ne cessais de planer tout en faisant de mon mieux pour ne pas avoir l'air défoncé. Je ne faisais plus attention à rien et j'étais joyeuse pour la moindre chose. Je n'ai pas même remarqué l'inquiétude sur le visage de mes parents, je n'ai pas réagis comme je l'aurais dû suite au décès de mon grand-père. J'ai toujours été forte, je n'ai quasiment jamais montré mes faiblesses mais durant cette période elles sont ressortis et ont effrayé ma famille qui ne m'avait jamais vu ainsi. Mais aussi étonnant que ça puisse paraître il m'a suffit de voir Halian et Kioma devenir fous face à ma situation pour me remettre en question. Encore maintenant j'ignore comment j'ai pu faire pour m'en sortir, je n'ai jamais trouvé quelque chose aussi difficile que de devoir cesser la drogue et surtout de moi-même. Je m'estime chanceuse d'avoir eu ma sœur et mon meilleur ami pour me soutenir, ils n'ont rien dit à personne et ce sont contentés de m'aider et je sais que c'est à eux que je dois le fait d'aller mieux. À présent je vais mieux, je me sens mieux, je me sens libre, vraiment libre. Ma vie redevient doucement normale, aussi normale qu'elle a pu l'être par le passé. Mon envie de voyager me revient, celui de devenir écrivain également, j'étudie pour par ailleurs. Mais malgré mes rêves d'indépendance je me sens encore trop accrochée à ma famille, sans doute est-ce de la part, mais je ne tiens pas à quitter Rosebud dans les mois à venir, ma vie est actuellement ici ainsi que mes racines. Cependant ma curiosité est grande et je ne cesse de m'informer sur le reste du pays autant que je le peux, en savoir plus sur les villes telles que Los Angeles ou encore New York est devenu important pour moi, d'ailleurs je profite du retour d'Haiwee pour m'informer même si mes parents souhaitent que j'évite de la fréquent un maximum. Et puis des choses nouvelles se passent à Rosebud, des nouveaux arrivants sont présents en ville. D'ailleurs je ne parvient pas à comprendre pourquoi autant de membres de la tribu voient ça comme un mal, personnellement je vois ça comme un moyen d'en savoir plus, de connaître autre chose que notre vie ici. Bien sûr je reste respectueuse de mes traditions, mes origines sont toute ma vie et font partie de moi. Mais mes parents ne cessent de répéter que mon jugement a perdu toute objectivité lorsque j'ai commencé à fréquenter ce « Noam » comme ils l'appellent, mais à vrai dire c'est plus fort que moi. Malgré ma méfiance envers les hommes depuis mon agression, il m'attire et m'intrigue. Je ne cesse de vouloir en savoir plus sur lui, sa présence me procure quelque chose d'étrange, j'ai l'impression d'être moi-même.
Lundi 26 avril 2010 »
(c) shiya
« Cher Journal,
Un seul mot : « magique », ou alors peut-être « surprenant » ou encore « merveilleux ». Je ne sais pas sur quel mot m'arrêter, aucun n'est assez fort pour décrire ce que j'ai ressenti pendant c'est quelques secondes. Je sais que jamais je n'avais ressenti ça et pourtant toi-même tu sais, cher journal, que ce n'était pas mon premier baisé, non pas que je me prenne pour une jeune fille précoce, bien au contraire. Je suis allée contre l'avis de mes parents, pour la première fois depuis longtemps je n'ai pas été la petite fille obéissante que j'ai pratiquement toujours été avec eux. Pendant les quelques minutes où j'ai préparé mon départ par la fenêtre de ma chambre je me suis sentie comme une adolescente, c'est sans doute idiot mais j'ai prit du plaisir à faire ce que ma mère a toujours détesté, ce que seule Kioma avait fait jusque là. Je ne m'étais jamais enfui de ma chambre alors que j'étais censée y rester toute la soirée. Il est vrai que je ne suis plus un enfant mais je n'ai jamais été contre l'autorité de mes parents, je les respecte bien trop pour ça, mais aujourd'hui alors que j'ai vingt ans. Mais je toujours tenu à dire pour ma défense que puisque je vis encore sous leur toit je dois me plier à leurs règles, peu importe mon âge. Cependant ce soir j'étais tellement en colère contre eux que j'ai fais ce que j'ai jugé juste et je suis allée voir Noam. Lorsqu'il m'a ramené il a fait l'erreur de m'embrasser juste devant ma porte et par chance c'est ma sœur qui a ouvert et non pas nos parents mais son regard en disait déjà assez long sur ce qu'elle pensait. Malgré tout c'est heureuse que je suis retournée dans ma chambre et c'est heureuse que j'écris dans ses pages. Pourtant j'ai peur que ce qu'il se soit passé ce soir n'est été qu'une erreur et que demain, lui comme moi nous ferons comme si de rien n'était, ce qui au fond n'est peut-être pas une mauvaise chose. Car malgré le sentiment que j'ai pu ressentir tout le long de ce baisé je n'ai jamais tenu à connaître la colère de mes parents, au grand dieu non.
Lundi 3 mai 2010 »
Nokomis relu la dernière page qu'elle avait écrit dans son journal intime avec un léger sourire au coin des lèvres. Cependant elle avait peur que Chilam les ai également lu, rien que d'y penser elle avait affreusement et ne détestait que plus sa petite sœur. Regardant le carton qui était à présent sur ses pieds, elle en sortie les quatre journaux intimes et alla ouvrir son dressing et tâtonna les planches du sol et à la recherche de celle qui grinçait. Lorsqu'elle la trouva enfin, et à l'aide de ses ongles, elle la souleva et y glissa ses journaux intimes. Ainsi Nokomis était à présent sûre que Chilam n'irait pas les trouver ici, elle avait fait l'erreur de les mettre dans des endroits faciles à trouver, elle n'allait pas commettre cette erreur une deuxième fois...Nokomis relu la dernière page qu'elle avait écrit dans son journal intime avec un léger sourire au coin des lèvres. Cependant elle avait peur que Chilam les ai également lu, rien que d'y penser elle avait affreusement et ne détestait que plus sa petite sœur. Regardant le carton qui était à présent sur ses pieds, elle en sortie les quatre journaux intimes et alla ouvrir son dressing et tâtonna les planches du sol et à la recherche de celle qui grinçait. Lorsqu'elle la trouva enfin, et à l'aide de ses ongles, elle la souleva et y glissa ses journaux intimes. Ainsi Nokomis était à présent sûre que Chilam n'irait pas les trouver ici, elle avait fait l'erreur de les mettre dans des endroits faciles à trouver, elle n'allait pas commettre cette erreur une deuxième fois...
Sujet: Re: nokomis ♥ do you know where your heart is ? » Dim 16 Mai - 16:58
Oh la vache, quand tu me disais que t'avais commencé ta présa (ou bientôt fini je sais plus ?) et bah ... ouaah y en a des choses à lire et j'attaque ça de suite aussi Tes bann déchirent au passage, surtout la première ! Et bienvenue bien sûr
Nokomis Wasquone NOKOMIS ▬ « bless my soul, i'm a lonely soul »
Sujet: Re: nokomis ♥ do you know where your heart is ? » Dim 16 Mai - 17:05
Booon. Alors j'ai tout lu, je suis une rapide, moi! Tout ça pour dire, que tu es validée, que ta fiche est très bonne, j'aime bien la façon dont est décrite la relation avec les soeurs, on comprend très bien ce qu'il en est. Fais cependant attention aux deux trois fautes d'inattention qui se glissent par ci par là, mais c'est vraiment pas grave. Bon jeu
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Sujet: Re: nokomis ♥ do you know where your heart is ? »