POHANA ● jean-claude, t'attends quoi pour dégainer le tomahawk ?

BURNING_SWORD
POHANA LEWESS

Ici, vous pouvez insérer de la musique, une citation...

PRAY FOR RAIN.

PRENOM, NOM : Pohana, LEWESS.
SURNOM(S) : Po', P., Poney, Popo, Hana.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE, AGE : Vingt-sept septembre, trente-quatre ans.

« Ma vie n’a jamais été des plus aisées. Je dois dire que les premières années de ma vie furent mouvementées. Bien que les raisons me soient encore totalement inconnues. Je voyageais entre deux mondes totalement opposés, navigant sur des flots mouvementés qui ne cesseront jamais de bouger, m’engloutissant peu à peu dans une sorte de trou noir. Je ne peux pas m’empêcher de penser que si j’avais été blanc, la vie n’aurait pas été si compliquée. Mais qui pourrait me dire que j’ai tort ? »
Pohana Lewess, fils de deux indiens dont nous tairons les noms aujourd’hui. Ses six premières années furent assez « mouvementées » pour reprendre ses propres mots, bien qu’il ne sache pas pourquoi. Son père battait sa très chère épouse qui se baladait constamment avec des bleus sur les bras ; elle arrivait toujours à trouver des excuses concernant ses hématomes bien que personne n’était réellement dupe. Comme la race humaine – qu’elle soit blanche, noire, bleue, rouge, jaune fluo… - est particulièrement stupide, aucune personne ne voulut dénoncer ce qui se tramait chez les Lewess. Cependant, cette femme battue trouva un jour assez de courage pour faire face à son bourreau de mari et s’enfuir ainsi avec son fils chez sa sœur, à New York. Une ville spécialement créée pour les femmes bafouées par les amourettes indiennes. Jusqu’à ce que P. ait huit ans, sa génitrice (comme il l’appelle dorénavant) avait réussi tant bien que mal à lui inculquer une éducation pacifiste. Les blancs et les « peaux rouges » étaient frères. Tous les hommes étaient frères, égaux. Cependant elle ne savait pas que certaines personnes étaient plus égales que d’autres. Un soir d'automne, quelques temps après l'anniversaire de Pohana, on frappa à la porte. Surprise. Le père était là, sur le palier. Observant ce qui avait été sa femme et son enfant béni des Dieux.
Après un jet incessant d'insultes pathétiques, le Père finit par enlever son fils des mains de la Mère. « Tu ne le reverras jamais. Oublie-le. Ce n’est pas ton fils, femme. » Le petit ne protesta pas, suivant ce qui avait été son Roi, celui qu'il admirait plus que tout au monde. Son daddy. Sa mère, lassée par tant de mascarade, ne chercha pas à retrouver son fils bien que l'amour qu'elle ressentait pour lui était infini. Son ancien amant ne ferait jamais de mal à son fils. L'éducation de ce dernier se fit alors beaucoup plus stricte. Tous les hommes n'étaient pas égaux. Les blancs voulaient pénétrer sur les terres indiennes pour y répandre le vice, la cruauté et la maladie. Sagement, Pohana apprenait toutes les choses plus ou moins délicates et raffinées qu'on lui inculquait. Ce petit avait une soif de savoir assez extraordinaire, son père versait le jus empoisonné dans sa bouche et, lentement mais sûrement, P. commençait à être contaminé par cette rage. Ce syndrome qu'on ne pouvait pas aisément effacer d'un claquement de doigts.
Pohana était devenu le parfait petit soldat que son père avait voulu et avait finalement eu. Son géniteur s'était plu à lui dire que c'était à cause des blancs si sa mère n'avait pas assisté à son enfance, son adolescence, son passage à l'âge adulte... Les blancs l'avait contaminée, elle n'était plus indienne. Elle était blanche. P., naïf et aveuglé par la crainte de décevoir son père, se mit à haïr sa mère comme jamais. Cependant, lorsque notre jeune indien eut vingt-sept ans, son père mourut, atteint d'un cancer du poumon. Néanmoins, il ne mourut pas à l'hôpital mais chez lui, entouré des siens. Refusant que des médecins le touchent. Et pourtant, si il avait accepté, il serait encore là aujourd'hui. Sur son lit de mort, il avait fait promettre à son fils de se marier qu'avec une femme indienne. Avant de lui répéter la même litanie discriminatoire qu'il lui ressassait depuis une quinzaine d'années.

Bonjour mes fans, moi aussi, je vous aime ; envoyez-moi donc toutes vos petites culottes !... J'attends... j'ai dis : J'ATTENDS. BON. Derrière l'écran se trouve une jeune fille de seize ans aux chaussettes blanches, fan incontestée des Guns N'Roses (pour anecdote : dans la famille, on est groupie de mère en fille. Si j'avais été un garçon, je me serais appelée William Axl. Qui est le prénom du chanteur des GNR, hahaha... marrant non ? - non -) et de Iron Maiden. J'aurais adoré vivre ma jeunesse dans les années 80 pour me marier avec Axl Rose et avoir tout plein de bébés. *pan* et pour avoir les cheveux longs, des chemises à carreaux, des jeans taille haute... On m'appelle Black Lahcà, ou Ophée de mon prénom Ophélia (nianiania). Je suis venue parce que mi amor est dingue et parce que dès qu'elle est sur un forum, je craque sur celui-ci. Elle est ici, parmi vous. Donc je suis là. Et puis votre design déchire ainsi que votre contexte. (du jamais vu, me semble-t-il)

AVATAR : Dwayne t'as pas de vie sociale ou quewah ? Johnson.
MOT DE PASSE : OK
GROUPE : APPROACHING THE ENEMY. (' jean-claude, t'as sorti la matraque ? on va se faire quelques petits étrangers. ')
MULTI-COMPTE : Aucun, meudame.

Bienvenido (aa)
& Bonne chance pour la suite ô monsieur le costaud

Ozalee ● Pourtant, il n'y a pas plus chou qu'un dwayne johnson.
Néanmoins, merci

Amor ● Merci amor amor amor

Nokomis ● (j'aime beaucoup ton ' ô monsieur le costaud ' )
Merci mademoiselle

Ozalee Lohawe a écrit:

Y m'fait peur avec ses gros bras, mdame.

Bah moi j'ai pas peur
Bienvenue (:

Pohana Lewess a écrit:

Nokomis ● (j'aime beaucoup ton ' ô monsieur le costaud ' )
Merci mademoiselle

Il avait rien de méchant pourtant oO et de rien

Sucki ● Si tu m'appelles Poney, je t'appellerais Sushi.
Merci !

( )

Nuttah ● De toutes manières, il ne faut pas avoir peur de moi, voyons !
Merci !

Nokomis ● Il a absolument rien de méchant. (a)

Pis je tiens à préciser que - je rejoins mi amor - Dwayne est plus seks que Arnold Swarzen-machin-Terminator.

& ma fiche est terminée. Scusez' la rapidité de l'histoire hein. x)